Visage connu du cinéma et de la télévision française depuis les années 1980, Jean-François Gallotte est avant tout un cinéaste libre et explosif. Sa vision anarchiste de la société l’a fait rencontrer Oposito dès ses débuts. Il y milite encore aujourd’hui, en tant que citoyen, membre du Conseil d’Administration de la Compagnie. Retour sur une folle carrière marquée par « un art consommé du décalage »...
Et pour nous mettre en appétit , un portrait de Jean François Gallotte par Jean Teulé pour l’émission « L’assiette anglaise » du 14 mai 1988 … Durée 4’43 »
Un passionnant entretien de 1H08′ avec le réalisateur Jean-François Gallotte à l’occasion de la récente mise en ligne de ses films qui sont à retrouver en VOD en exclusivité sur cinemutins.com/
Après sa formation d’acteur sous la direction d’Antoine Vitez, Jean-François Gallotte pratique le théâtre de rue à ses débuts. Il travaille avec plusieurs troupes – le Théâtre Imaginaire, la Compagnie de la Jacquerie ) – avant de se tourner vers la réalisation d’un premier court métrage à la fin des années 1970
Il a également été animateur sur la radio Carbone 14, expérience à laquelle, avec Joëlle Malberg, il a consacré un film.
Il tourne fréquemment pour la télévision et le cinéma tout en se produisant sur les scènes des théâtres parisiens.
Son long métrage Le Chien a été présenté au festival de Cannes 1984 dans la sélection Perspectives du cinéma français4.
Selon Sandrine Marques (Le Monde, ), Jean-François Gallotte est « un artisan à part dans le cinéma français » et il « cultive un art consommé du décalage ». Membre du conseil d’administration du Centre national des arts de la rue Le Moulin Fondu d’Oposito.
Jean François Gallotte est par ailleurs membre de la coopérative audiovisuelle et cinématographique de production, d’édition et de distribution « Les mutins de Pangée. »
Tous ces films sont à retrouver en VOD en exclusivité sur cinemutins.com/