Énorme plaisir cette semaine d’accueillir à la Pointe de Bretagne, le réalisateur audiovisuel Claudio Martinez Valenzuela venu présenter son documentaire « Trois éléphants passent » qui relate l’aventure Oposito et Bagad Plougastel de en janvier 2024 à Santiago du Chili. Sa devise : « regarder le regard de celui qui regarde ». A notre tour de profiter des clichés qu’il partage au jour le jour sur son facebook …Retrouvez le Journal de bord de Claudio sur facebook par ici …







En savoir plus sur la présence de Claudio Martinez Valuenzela en Bretagne …
À Plougastel-Daoulas, pour les 50 ans du Bagad Plougastell, trois éléphants sur la ligne de départ
Samedi, à Plougastel, le grand spectacle « Trois éléphants passent… » sera l’apothéose des 50 ans du Bagad Plougastell. Le réalisateur chilien qui suit la compagnie Oposito est arrivé depuis quelques jours. Nous l’avons rencontré.
Ce samedi 5 octobre 2024, à partir de 19 h 51, l’année anniversaire du cinquantenaire du Bagad Plougastell se conclura en apothéose avec la déambulation de « Trois éléphants passent… », en partenariat avec la compagnie Oposito, au bourg de Plougastel-Daoulas, suivie d’un grand fest-noz (payant à l’Espace Avel vor qui tiendra les danseurs éveillés jusqu’au bout de la nuit.
Des bénévoles, des comédiens, des musiciens…
Mais, en attendant, c’est un inventaire à la Prévert qui s’égraine et s’active pour que la fête qui s’annonce soit belle : 120 bénévoles, 39 comédiens amateurs et seize professionnels, 87 musiciens des bagad et bagadig auxquels s’ajoutent 29 membres du conservatoire, trois éléphants (forcément), dix phénix, neuf moutons et… un réalisateur !
Venu tout droit du Chili, Claudio Martínez Valenzuela est arrivé la semaine dernière pour la toute première projection, au cinéma l’Image, de son documentaire « Tres elefantes pasan… a Santiago a Mil » qui relate l’aventure de la compagnie Oposito et, donc, du bagad, au Chili en début d’année. Claudio Martínez Valenzuela apprécie tout particulièrement d’être là : « Je suis venu pour la première diffusion du film et pour profiter de la région. C’est important d’être là pour les 50 ans du bagad, que j’ai découvert, comme la compagnie, au travers de mon travail ».
« C’est mon métier, c’est plus fort que moi ! »
Ici, il découvre aussi, comme il le souligne en souriant, « les liens entre Plougastel et le Chili… Avec la fraise ! ». Le réalisateur se félicite d’avoir pu montrer « le visage des vrais Chiliens » au pays d’Amédée Frézier. S’il n’est pas venu à Plougastel pour faire un nouveau film, il n’exclut pas de tourner quelques images souvenir samedi « avec une petite caméra. C’est mon métier, c’est plus fort que moi ! ». Et qui sait, peut-être qu’ainsi le visage des Plougastels sera diffusé un jour au Chili ?