Jean Raymond Jacob raconte … « J’ai fait un rêve. C’était le 11 mai, je me réveillais… On y était. Cette bon sang de journée je l’attendais : enfin je pouvais passer le seuil de la maison sans une laisse d’un kilomètre. Mon laisser-passer d’une heure dans la poche, celui-qui, à chaque fois, me donnait la sensation que je m’autodétruirais avant de pouvoir rejoindre mon domicile si je dépassais le temps qui m’était imparti … » Continuer la lecture de « A la morgue des rêves se trouvent les cauchemars… »