
Ce dimanche 11 août 2019, les musiciens du Bagad Plougastell traversaient la France pour jouer à Strasbourg « Trois éléphants passent » avec la compagnie Oposito. Une pièce qui, avec « La Transhumance » contribue à les faire voyager aux quatre coins du monde . Retour sur cette rencontre insolite entre le théâtre de rue et cet ensemble de musique traditionnelle de Bretagne … Continuer la lecture de « Le Bagad Plougastell parcourt le monde avec Oposito »

Serge Mascret vient de produire un documentaire intitulé « Quand l’art se retrouve à la rue ». Riche des mots et des expériences croisés de Pierre Berthelot et de Caty Avram de Générik Vapeur, de Pierre Duforeau de Komplex kapharnaüm et Chalon dans la rue, de Jean Raymond Jacob d’Oposito et du Moulin Fondu …
Les chansons qui font l’histoire sont rares. « Asimbonanga » en fait partie. Elle a propulsé Savuka, le groupe du chanteur et danseur Johnny Clegg, en tête des ventes de disques en 1987, avant de s’imposer en hymne de la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud. Dédiée au leader de l’ANC Nelson Mandela, à l’époque emprisonné depuis vingt-quatre ans, la chanson du « Zoulou blanc » marque un jalon dans la trajectoire d’un artiste qui a passé sa jeunesse à braver la censure …
Un film sorti en 1997 qui sonde le théâtre de rue, sur le mode de la rencontre, en esquissant le portrait de cinq compagnies de théâtre de rue. Tout en donnant à voir et à entendre les partis-pris artistiques de chacun, « Bombyx » s’interroge sur la relation de ces artistes avec le paysage traversé : comment l’écriture des arts de la rue conduit-elle à une interrogation sur l’art et le paysage ?
Le spectacle « Kori Kori » d’Opo Sito a marqué les mémoires du public russe les 17 et 18 mai derniers à Moscou. Une nouvelle preuve de l’impact du théâtre de rue sur les habitants d’où qu’ils viennent et quel que soit leur langage. A la santé de la naissance du Premier Festival festival de musique et théâtre de rue de Moscou, longue vie au « Nikolin den » !
19 mai 1991, il y a 27 ans, jour pour jour, Grains de folie et Dame Blanche traversaient à 4 h du matin le Pont de Plougastel. A l’entrée du bourg, se trouvait la demeure de Chronos dans l’Ancienne Coopérative de fraises de l’Union, la Source du Temps. C’était à la fois le passé et l’avenir, le temps présent et le futur, le temps de l’hiver et de l’automne à venir. C’est là que se trouvait la Grande Horlogerie, la fabrique des saisons, les réserves d’heures supplémentaires ; seul le voyageur égaré pouvait y accéder … »
14 mai 1989, il y a 30 ans, jour pour jour, la légende de Grains de folie voyait le jour à 4 heures du matin dans la commune berceau de Le Relecq-Kerhuon (29). Née de nos envies de militants du Patronage Laïque , nous prétendions « oser le spectaculaire pour s’assurer d’une permanence dans les mémoires« . Déjà lors de notre festival « La Tête et les Mains 88 », la première collaboration avec la compagnie Francilienne Oposito nous avait fait découvrir la capacité du théâtre de rue à bousculer le train-train quotidien des habitants…
Le théâtre de rue et ses artistes qui prennent tes murs et tes rues comme décor, qui tentent de faire résonner l’écho du monde, ses bruits et ses cris, ses douceurs aussi.