Samedi 27 octobre 2007 : la webradio Rue Libre tente le défi d’émettre pendant 25 heures depuis Le Fourneau du Portde Brest. Une performance technique rendue possible par les magiciens du fourneau.com et ceux de la radio libre rennaise Canal B. Un marathon radiophonique animé par Qualité Street en multiplex, rediffusé par voie hertzienne par des radios partenaires, connectant les 4 coins du Monde aux communes rurales les plus isolées, un espace de libre expression pour des dizaines de voix de la rue, connues ou moins connues …
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L’itinéraire d’Oposito a mené la compagnie à se produire à plusieurs reprises sur le continent africain C’est au retour de Johannesburg, que Jean Raymond Jacob, Enrique Jimenez et leurs complices ont imaginé partager leur carnet de bord émotionnel sous la forme d’un spectacle déambulatoire. « Les Trottoirs de Jo’Burg, Mirage » a été joué pour la première fois le 14 août 2001 sous le viaduc de Morlaix … 
28 mai 2000 : dans le cadre d’un projet intercommunal de requalification de la route nationale 2 en boulevard urbain, les maires de Pantin, d’Aubervilliers, de La Courneuve, du Bourget et du Blanc-Mesnil, en Seine Saint-Denis, décident de rendre la route aux piétons lors d’une grande fête. Cinq communes traversées par la RN2 s’associent pour que, durant une journée festive, les spectacles de rue remplacent le flux des voitures … 
25 janvier 2000 . A l’initiative de Pierre Bourguignon, député de Seine-Maritime, l’Assemblée Nationale crée un groupe d’études parlementaire sur les arts de la rue. La réunion constitutive a enregistré l’inscription de 46 députés issus de toutes les forces politiques présentes au Parlement. Mutualiser les expériences, échanger sur les pratiques, sur les modes de financement, rencontrer des représentants de compagnies, des directeurs de festivals, des responsables de lieux de fabrication… tels sont les objectifs de ce groupe d’études.
19 novembre 1998, Sotteville les Rouen.
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10 novembre 1996, 5H27 du matin : 600 passagers volontaires se présentent en Gare de Brest, tels « de parfaits voyageurs qui ne savent pas où ils vont« . Ils connaissent l’heure de départ et celle du retour – 13 h 08 – mais n’ont aucune idée de la destination. Personne n’a révélé le trajet qu’empruntera la rame, pas même les responsables de la SNCF, les maires du Relecq Kerhuon ou de Landerneau pourtant complices … 